Un hôpital public de 350 lits

L'hôpital de Chauny, (200 lits de court séjour, 140 de moyen séjour) n'avait pas réactualisé son site depuis 1990. Le webmaster ayant quitté l'établissement, il fallait tout refaire. TV Santé a proposé une refonte totale, avec création de l'ensemble du contenu réalisation de vidéos d'information du patient, et un CMS simple d'emploi pour faciliter les mises à jour par l'établissement lui-même.

Le centre chirurgical Emile Gallé est le site universitaire spécialisé dans la chirurgie de la main de la région Lorraine. Suite à la fusion avec l'ancienne clinique orthopédique gérée par la CRAM, le nouveau centre a voulu refaire l'ensemble de sa communication, à commencer par son site internet.

Un centre chirurgical universitaire

Le site web d'une maternité

L'hôpital de Chauny, (200 lits de court séjour, 140 de moyen séjour) n'avait pas réactualisé son site depuis 1990. Le webmaster ayant quitté l'établissement, il fallait tout refaire. TV Santé a proposé une refonte totale, avec création de l'ensemble du contenu réalisation de vidéos d'information du patient, et un CMS simple d'emploi pour faciliter les mises à jour par l'établissement lui-même.

1er ambassadeur d'une entreprise, le look d'un site web se soigne

 

e-mail

Avec l'appartion des tablettes & des smartphone, la main-mise des supports sur les contenus a volé en éclats. Pour consommer de l'information, l'éditeur-auteur vampirise le média du client pour y diffuser son contenu.

La première particularité de l’accès télévisuel est le cadre général de consommation de programmes. Le client est un patient du système de santé, engagé dans un processus de soins, ce qui constitue évidemment sa préoccupation principale.

Il est en attente de programmes de divertissement, sans pour autant avoir l’esprit complètement libre. Il est capable de prendre de la distance par rapport à son usage domestique, mais ne souhaite pas être coupé du monde de l’actualité.

Préoccupé par sa santé, souhaitant être informé de manière générale sur le monde de l’hôpital, ses coulisses, il est en attente d’informations santé. Le patient est également engagé dans un process de soins, chaque jour plus complexe, au sein duquel l’information a une place prépondérante. Que ce soit à travers les ERI ou l’éducation thérapeutique, tout projet d’information du patient est légitime au sein d’un établissement de soins...

Comme l’est a contrario la position de certains patients, anxieux, qui souhaitent suivre les recommandations de l’équipe médicale sans pour autant subir un cours professoral de médecine. Plus qu’ailleurs, il n’est pas question d’imposer des informations de manière péremptoire ou brutale.

Dans le cadre de la prévention, par exemple, les informations et recommandations son bien perçues à condition qu’elles évitent de culpabiliser le patient ou même de l’infantiliser.

La seconde particularité

La seconde particularité tient à l’usage d’une chambre de patient. Ce n’est ni un salon, ni une salle à manger, ni une chambre à coucher. Le patient y reçoit l’équipe médicale, le personnel soignant, le personnel hospitalier. On y pratique examen clinique et certains examens complémentaires (prélèvements biologiques), actes de soins courants… Il y prend son repas, et y accueille sa famille.

La chambre du patient est donc un lieu d’échanges centré autour de la pratique de soins, fortement investi sur le plan affectif. Une télévision hospitalière se situe au carrefour d’une télévision thématique (la santé) et d’une télévision locale (critère de proximité), et les programmes locaux sont particulièrement bien ressentis, dans le champ de l’univers hospitalier (vie de l’hôpital), comme dans le champ culturel (vie de la région, tourisme…).

Souvent, surtout dans l’hôpital public, ce lieu est partagé avec un autre patient dans des chambres à deux lits. Dans ce cas, la télévision est le plus souvent individuelle, disposée en hauteur et certains adaptations sont prévues pour éviter les nuisances sonores collatérales (dispositifs de réduction du bruit, télécommande filaire dotée de petits haut parleurs, et reliée à la potence du lit).

La désialinénation du support

La troisième particularité d’une télévision hospitalière tient à la durée moyenne de séjour du patient. En France, dans les unités de court séjour elle se situe entre 4 et 5 jours concentrant le maximum d’actes de soins et d’investigations durant lesquels le patient a quitté sa chambre. Le nombre de séjour annuel par patient est en moyenne de deux.

Les répercussions sur la programmation, expliquent une grille hebdomadaire, privilégiant les programmes courts rediffusés. Les programmes longs, comme les documentaires peuvent être re-programmés fréquemment dans un trimestre ou même un mois, puisque les patients ne séjournent jamais autant dans des unités de court séjour.